Militantisme

Basé uniquement sur des sources occidentales facilement vérifiables, le petit livre de Benjamin Abelow peut difficilement être traité de « propagande russe ». Il a néanmoins été passé sous silence par les grands médias occidentaux. Voici sa présentation, avec des liens utiles Washington et les grands médias affirment que Vladimir Poutine est un expansionniste à […]

À l’occasion de l’élection présidentielle d’avril 2012, une telle surestimation de l’importance des forums internet et des « médias sociaux » a poussé l’agence de presse nationale de la France à enfreindre sciemment, et avec une certaine insouciance, la loi. Les principaux journalistes de l’AFP, en accord avec sa direction, s’étaient convaincus que la vieille règle, partagée par de nombreux pays, selon laquelle aucun résultat d’un scrutin ne pouvait être annoncé avant la fermeture des bureaux de vote, avait vécu.

Il devenait clair que la bataille autour du statut de l’AFP avait de plus en plus d’importance sur le plan international, même si les débats qu’elle suscitait restaient désespérément franco-français (ce qui est resté le cas par la suite). J’ai donc résolu de produire une traduction en anglais de ce fameux statut, laquelle a été publiée par mon syndicat et affichée sur le site SOS-AFP.

Un aperçu des activités intenses et diverses que peut comporter un mandat syndical dans un domaine aussi sensible que le journalisme et au sein d’un paysage social aussi compliqué que celui qui existe en France.

En février 2010, en plein milieu du combat pour le statut de l’AFP, le PDG Pierre Louette démissione. Afin de porter les revendications de la pétition « SOS-AFP », je me porte candidat à sa succession

Vers la fin de 2008 il devenait clair que l’administration conservatrice du Président Nicolas Sarkozy était décidée à modifier de manière radicale le statut de l’AFP, défini par une loi en 1957. Il était carrément question d’une privatisation et les syndicats de l’entreprise envisageaient de lancer une pétition. ….Il apparaissait également qu’à l’époque d’internet et du Web, toute pétition qui se respectait se devait d’être en ligne.