Sharp Words

site web personnel de David Sharp (Paris)

Syndicaliste et critique des médias né en Grande-Bretagne et vivant à Paris depuis les années 1970.

Ce site présente une sélection d’écrits, y compris des comptes-rendus d’activités militantes.

Sommaire

2012 : À la recherche d’un « buzz », l’AFP fait fi de la loi électorale

À l’occasion de l’élection présidentielle d’avril 2012, une telle surestimation de l’importance des forums internet et des « médias sociaux » a poussé l’agence de presse nationale de la France à enfreindre sciemment, et avec une certaine insouciance, la loi. Les principaux journalistes de l’AFP, en accord avec sa direction, s’étaient convaincus que la vieille règle, partagée par de nombreux pays, selon laquelle aucun résultat d’un scrutin ne pouvait être annoncé avant la fermeture des bureaux de vote, avait vécu.

2011 : Le statut de l’AFP traduit intégralement en anglais

Il devenait clair que la bataille autour du statut de l’AFP avait de plus en plus d’importance sur le plan international, même si les débats qu’elle suscitait restaient désespérément franco-français (ce qui est resté le cas par la suite). J’ai donc résolu de produire une traduction en anglais de ce fameux statut, laquelle a été publiée par mon syndicat et affichée sur le site SOS-AFP.

2010 : Élection d’une nouveau PDG : ma candidature

En février 2010, en plein milieu du combat pour le statut de l’AFP, le PDG Pierre Louette démissione. Afin de porter les revendications de la pétition « SOS-AFP », je me porte candidat à sa succession

2008 : Lancement d’un site pour défendre le statut de l’AFP

Vers la fin de 2008 il devenait clair que l’administration conservatrice du Président Nicolas Sarkozy était décidée à modifier de manière radicale le statut de l’AFP, défini par une loi en 1957. Il était carrément question d’une privatisation et les syndicats de l’entreprise envisageaient de lancer une pétition. ….Il apparaissait également qu’à l’époque d’internet et du Web, toute pétition qui se respectait se devait d’être en ligne.

2008 : Les liaisons dangereuses entre une agence de presse et la publicité

Dès mon embauche à l’AFP en 1983, il m’a semblé que l’un des charmes discrets du travail d’agence était le fait de ne pas être directement tributaire de la publicité. Lorsque, en 2007, le PDG de l’agence a proposé de créer des sites web financés directement par la pub, j’ai pu porter l’affaire devant le Conseil Supérieur de l’AFP.

2012 : À la recherche d’un « buzz », l’AFP fait fi de la loi électorale

À l’occasion de l’élection présidentielle d’avril 2012, une telle surestimation de l’importance des forums internet et des « médias sociaux » a poussé l’agence de presse nationale de la France à enfreindre sciemment, et avec une certaine insouciance, la loi. Les principaux journalistes de l’AFP, en accord avec sa direction, s’étaient convaincus que la vieille règle, partagée par de nombreux pays, selon laquelle aucun résultat d’un scrutin ne pouvait être annoncé avant la fermeture des bureaux de vote, avait vécu.

2010 : Élection d’une nouveau PDG : ma candidature

En février 2010, en plein milieu du combat pour le statut de l’AFP, le PDG Pierre Louette démissione. Afin de porter les revendications de la pétition « SOS-AFP », je me porte candidat à sa succession

2008 : Les liaisons dangereuses entre une agence de presse et la publicité

Dès mon embauche à l’AFP en 1983, il m’a semblé que l’un des charmes discrets du travail d’agence était le fait de ne pas être directement tributaire de la publicité. Lorsque, en 2007, le PDG de l’agence a proposé de créer des sites web financés directement par la pub, j’ai pu porter l’affaire devant le Conseil Supérieur de l’AFP.